Délégué du personnel en souffrance au travail suite harcèlement

olymplyon Messages postés 3 Date d'inscription mardi 17 janvier 2017 Statut Membre Dernière intervention 18 janvier 2017 - 17 janv. 2017 à 14:45
olymplyon Messages postés 3 Date d'inscription mardi 17 janvier 2017 Statut Membre Dernière intervention 18 janvier 2017 - 18 janv. 2017 à 17:53
Bonjour,

Je suis en arrêt maladie depuis le 17 octobre 2016 suite à une souffrance au travail provoquée par mon supérieur hiérarchique (harcèlement moral depuis plusieurs mois jusqu'aux lettres recommandées A.R. non justifiées).

Je suis encore arrêté jusqu'28 février prochain par mon médecin traitant.

Je précise aussi que je suis délégué du personnel.

Lors de mon dernier entretien téléphonique avec le R.H., je lui ai part que vu mon état psychologique actuel, je ne souhaitais pas reprendre mon poste habituel. Il m'a demandé si j'accepterai un poste dans une autre agence du groupe, à cela j'ai répondu OUI à condition que je n'ai plus de contact à l'avenir avec mon précédent responsable (instigateur de ma souffrance au travail) mais que je n'avais pas les compétences au poste proposé.

Je lui ai donc soumis l'hypothèse d'une rupture conventionnelle en lui confirmant que j'étais prêt à confirmer auprès de l'inspection du travail de ma volonté de cesser le travail dans l'entreprise.

Il m' a alors répondu que le mieux pour les deux parties (employeur-salarié) était le licenciement pour inaptitude au travail. Je lui ai alors demandé de me prendre un RDV rapidement avec le médecin du travail afin qu'il puisse se rendre compte de mon état actuel et de ne pas attendre que mon état de santé s'améliore.

Depuis presque deux semaines, pas de RDV ni même de contact.

Dans ce cas, qui doit prendre RDV avec le médecin du travail ?

Où y a t'il une autre solution dans mon cas ?

Je voudrais éviter de saisir l'Inspection du travail voir des Prud'hommes pour faire constater le harcèlement moral. Ces procédures me font peur et cela n'arrangerait pas mon état de santé voir le dégraderait.

Qu'en pensez-vous s'il vous plaît ?

Merci d'avance pour votre réponse rapide !

Cordialement.
Olymplyon.

1 réponse

dna.factory Messages postés 24938 Date d'inscription mercredi 18 avril 2007 Statut Modérateur Dernière intervention 18 avril 2024 12 390
17 janv. 2017 à 14:51
Où y a t'il une autre solution dans mon cas ?
Bah oui, la plus simple de toutes...
Vous cherchez du boulot par vous même et vous démissionnez une fois trouvé.
Personne n'a son mot à dire, personne n'a son accord à donner.

L'autre solution, particulièrement en tant que délégué du personnel est de faire reconnaitre ce harcèlement, autant pour vous, que vous collègues qui restent.
1
olymplyon Messages postés 3 Date d'inscription mardi 17 janvier 2017 Statut Membre Dernière intervention 18 janvier 2017
17 janv. 2017 à 15:30
Bonjour,

Merci pour vos réponses mais elles ne me conviennent pas totalement !

Je ne vous ai pas demandé une solution plus simple, celle que vous me proposez, est bien connue mais pas facile de retrouver du travail quand on a 59 ans !

L'autre solution, je préfèrerai partir sans avoir à me compliquer l'existence vu mon état mental actuel comme je vous l'ai écrit sur mon premier mail !
Je suis le seul dans l'entreprise à subir ces affronts de mon supérieur hiérarchique.

Quand je vous demandais s'il pouvait avoir une autre solution, c'était autre que la rupture conventionnelle ou l'inaptitude au travail ou alors laquelle de celle-ci serait la plus simple pour obtenir l'accord de l'inspection du travail sachant que je suis prêt à confirmer à l'inspection ma volonté de ne pas poursuivre dans cette entreprise?

Qui de moi même ou mon employeur doit prendre le RDV à la médecine du travail ?

Quels autres motifs seraient plus adéquates dans mon cas ?

Cordialement.
Olymplyon
0
olymplyon Messages postés 3 Date d'inscription mardi 17 janvier 2017 Statut Membre Dernière intervention 18 janvier 2017
18 janv. 2017 à 17:53
Bonjour,

Mon cas est si compliqué pour que personne ne me réponde ??

Salutations.
Olymplyon
0