PRUD'HOMMES ou arrangement amiable ?

mha29 - 23 mai 2009 à 12:43
marionnette30 Messages postés 5266 Date d'inscription samedi 7 février 2009 Statut Contributeur Dernière intervention 17 avril 2012 - 23 mai 2009 à 13:27
Bonjour,
Bonjour,

je vais essayer brièvement de résumer ma situation
Je travaille dans le notariat depuis 1986.
J'ai 57 ans
En 1988 , arrive Mâitre P .qui reprends l'Etude.
Tout ce passe bien jusqu'en fin 1995, en effet, ma patronne qui m'apprécie, parce que je fait du bon travail, me fait progresser dans son Etude.
(d'employée aux écritures, je suis passée clerc de notaire)
En 1995, Mr JJB, compagnon de ma patonne, qui n'a absolument rien à voir avec l'Etude, me prend en gippe (j'avais 44 ans), se mêle de ma vie privée, m'insulte, ect sous les yeux de ma patronne, qui ne dit rien ou n'ose rien dire?

Nous sommes en janvier 1996, et ce Monsieur, me dit textuellemnt, qu'il me règlerai mon compte en juin 1996. (sous entendu vous dégagerez degré ou de force)(Ma patronne était en congés maternité pour son premier enfant)

Enfin bref, courageusement, je retourne au travail, les rapports avec ma patronne se détériorent, evidemment, entre son mec et moi, c'est son mec qu'elle choisit.
Juin 1996, premier courrier recommandé, me reprochant "faute lourde et grave justifiant mon licenciement immédiat" sans indeminités sans rien, alors que je n'avais fait qu'une erreur (J'avais malencontreusement mis un chèque libellé à l'ordre du Tresor Public à la poubelle- chèque retrouvé)

Naturellement, comme jusque là j'étais une employée irréprochable, il a bien fallu trouver, des arguements.
Le but me virer comme une malpropre, vu que cela faisait 10 ans que j'étais là, et que je coûtais cher.
J'ai prévenu le syndicat et j'ai répondu à ce courrier
Et là miracle, plus de nouvelles.

Elle ne m'aime pas, mais comme elle ne peut pas me licencier sans pendre le risque que je l'envoie aux prud'hommes, ça s'arrêtelà etje continue à travailler.

Bien sûr, faut pas se leurrer, je ne suis pas à la même enseigne que mes autres collègues qui profitent bien de la situation.(On me crie facilement dessus pour un oui ou un non, à la différence des collègues qui sont au club MED)

Coup de théatre en septembre 2006.

Je travaille depuis 2000 avec Me V... notaire salariée au sein de l'Etude de Me P. C'est une façon, pour Me P.. de me voir moins, elle qui a du mal à supporter ma présence.(depuis qu'elle n'a pas pu me licencier)

Ce 11 septembre 2006, je reviens de vacances, et je m'aperçois que mon téléphone a disparu...(pendant ms vacances)

Ma patronne et mon chef me convoquent immédatement, en me précisant que désormais, je n'aurai plus de téléphone, que je travaillerais sur mes dossiers, avec ce qu'il y aurait au dossier)
Mon travail consistait à faire des actes de vente ou autre, prendre rendez-vous avec les clients, ou répondre à leurs questions quand ils appelaient etc;;;

Je suis restée sans voix, j'ai dit à ma patronne qu'elle me prenait pour une imbécile et je lui ai bien entendu demandé les raisons de ce retrait.

En fait, on m'a enlevé mon téléphone, tout simplément parce que ma chef, Me V... s'est fait sans doute engueulé par un client, pour lequel Me V, avait fixé un rendez-vous de signature pour la vente e son appartement.

Or, lorsque j'ai eu ce client au téléphone, je lui ai simplement dit que si on avait pas toutes les pièces pour le jour de la signature, on serait obligés de décaler l un peu le rendez vous.

Enfin bref, je n'ai fait que dire à un client ce que ma patronne ou les autres collègues disent tous les jours.
De plus, j'ai appris ce jour, que moi à la diffrence des collègues, je n'aurai pas droit aux nouvelles technologies, pour bosser c'est à dire INTRANET.
(je vais ans doute faire sauterle système)
A ma question, pourquoi, moi je n'aurait pas intranet pour bosser, ma patronne la seule réponse qu'elle a eu à mon égard C'estmoi la patronne, c'estmoiqui décise.

Je continue donc de bosser malgré tout, difficilement (je n'ai jamais été en arrête de travail , je préfère faire face à la situation)

Evidemment c'est diffice de travailler sans téléphone, car pour un oui ou pour un non, on a toujours besoin de passer un coup de fil.
Donc lors que j'avais besoin de télphoner, j'utilisais les fax, (c'est pour ça que javais la réponse)

Parfois, ma collègue appelait à ma place, mais ma patronne avait donné des consignes aux collègues pour ne pas téléphoner à ma place.

Donc à partir de là, les dossiers que je rendais à mon chef, n'étaient pas toujours complets, (alors que lorsque j'avais un téléphone, ma chef savait que je lui rendais toujours des dossiers complets)ma chef qui soupirait bien entendu, quand il fallait qu'elle appelle à maplace.

De plus j'étais bien sûrla risée des collègues, qui faisaient comme la patronne c'est à dire qu'elles ne me respectaient pas et qui se foutaient dem oi.
Les rapports bien sur avec mon chef qui étaient très exigeant, se sont dégradés progressivement, car, même si elle était à l'origine de l'enlèvement e mon téléphone, elle n'avait pas envie d'appeler à ma place.
En 2007, arrive une nouvelle collègue, Melle A V, qui est stagiare penant deux ans, et qui doit aussi travailler comme moi avec Me V.
En même temps, c'est la crise, et il a moins de travail.
Bien vite, Me V, qui doit partager le travail entre moi et Melle V, préfère tout donner à Melle V, déjà dans la mesure, où elle peut se débrouiller toute seule puisqu'elle a un téléphone.
Concernant le téphone, j'ai bien entendu fait un courrier à ma patronne, en lui pécisant que ce qu'elle me faisait vivre ce n'était que du harcèlement moral.
Moi , je considère, que depuis 2006, ma patronne m'a "abétisé" en m'enlevant mon téléphone, me fait vivre une situation humiliante vis à vis des collègues, qui vont me dire par derrière, "oui on est 'accord avec toi, c'est du harcèlement moral", mais qui bien sûr prennent quand même le parti de la patronne.

De plus, je me suis aperçue également, que depuis 2005, environt mon chef tenait un petit cahier sur moi, dans lequel elle notait les erreurs que je faisais, avec les dates etc... honteux.

En janvier 2009, mon chef me hurle dessus, car il fallait annuler un endez-vous de signature.

Comme elle avait peur de se faire engueuler par les vendeurs, elle m'a demander de"telephoner".
Je lui ai répondu que je n'avais pas de téléphone, il s'en ai suivi une discussion houleuse. et depuis ce jour, je bosse avec ma patronne Me P, qui me donne parfois des dossiers, sous surveillance, naturellment, avc des ordres, des contre ordres, au point qu'aujourd'hui, je ne sais vraiement plus ce que je dois faire pour la contenter.

On cherche, l'erreur donc on la trouve,( un coup elle me dit que je n'ai pas besoin de réfléchir, une autre fois, il faut un minimun de reflexion etcc....

Je suis syndiquée.

L'aute jour ma patronne m'a remis une lettre de rupture conventionnelle.
Le syndicat me dit de refuser.
Je vais refuser, mais en même temps, je dis que ma patronne m'en a tellement fait bavé, que j'ai l'intention de l'envoyr aux prud'hommespour harcèlement moral

Pensez vous qu'au vu des faits sus relatés, je puisse gagner... je veux au moins que le harcèlement moral dont j'ai été l'objet depuis 1996, soit reconnu.

Merci de bien vouloir me répondre.
(

1 réponse

marionnette30 Messages postés 5266 Date d'inscription samedi 7 février 2009 Statut Contributeur Dernière intervention 17 avril 2012 1 740
23 mai 2009 à 13:27
Vous n'auriez pas posé un sujet pour votre histoire sur notre forum déjà ?

Auriez vous des témoignages, des preuves de ces faits ?
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