Hébergement environnement néfaste chez le père

Mon ex conjoint a déjà 2 grands enfants un garçon de 32 ans et une fille de 28 ans avec lesquels il vit ds la même maison, sur les hauteurs de Nice et sa mère y vient quasiment au quotidien. Il en a eu la garde totale à leur adolescence, car il a réussi à faire croire à tout le monde que leur mère les avait abandonnés. Il l'avait surprise dans le lit conjugal avec son meilleur ami et les a chassé manu-militari... Elle par la suite a eu une petite fille avec son amant

Nous avons eu un garçon de 20 mois ds qqles jrs, né en janvier 2013. J'ai 42 ans et vis actuellement dans le var seule avec mon enfant et je suis à la recherche d'un emploi.

Mon cauchemar a commencé lorsque la mère de mon ex conjoint a appris ma grossesse, soit juillet 2012. Elle en a été malade de jalousie. Puis en août, au départ de celui-ci pour son entreprise domiciliée à l'étranger, c'est là que mon calvaire a débuté. J'étais enceinte d'environ 4 mois quand sa mère raliée de sa petite fille ont réussi à me mettre à la porte de la maison familiale, profitant de l'absence du futur père.
Elles (niçoises- d'origine italienne) n'ont jamais accepté mes origines (algérienne), ni aucune autres origines d'ailleurs, voire même des villes ou habitants voisins, et se sont acharnées sur moi, ce fût un véritable enfer au quotidien durant 1 mois 1/2. Mi-septembre, j'ai pris le 1er appartement qui se présentait, je ne voulais pas mettre ma grossesse en danger. Au 6eme mois de grossesse et surtout à cause du grand stress, les urgences ont voulu m'hospitaliser car risque de perdre mon bébé. Je précise qu'entre temps le futur père était au courant de tout ce qu'il se passait, mais n'a jamais rien fait.

Je fais l'impasse sur beaucoup d'évenements qui se sont produits par la suite car trop long...

2 mois avant le terme de ma grossesse, j'ai perdu mon père sans pouvoir lui dire au revoir, car trop perturbée par ce qu'on m'avait fait vivre. Après son décé en novembre 2012, avec mon ex-conjoint nous avons tenté une réconciliation avant tout pour notre enfant. A la sortie de la maternité, j'ai essayé de réintégrer le domicile familial, mais en vain. Cela n'a duré qu'une semaine car sa fille, qui vit avec son compagnon et le fils de celui-ci au domicile de son père, m'a bien fait comprendre que je n'étais pas la bien venue.

J'ai vécu 3 semaines en transit ds la maison de ma mère qui vit ds le var en attendant d'emménager ds mon nouvel appartement proche de chez elle. Le précédent appartement (alpes maritimes), pris ds l'urgence, s'est avéré être vétuste au fil des jours.


Malgré le mécontentement de mon ex, celui ci m'a tout de même aidé à l'emménagement en février 2013. 2 ou 3 mois plus tard, il revenait faire qqles visites très aléatoires, particulièrement les we. Mais surprise, début octobre 2013, je reçois une convocation prévue décembre 2013 du TGI de Nice avec requête du père pr un droit de visite et d'hébergement. Je précise qu'à ce moment là j'étais persuadée qu'on allait enfin former une famille. Il a fait croire au JAF que je m'étais enfuie avec l'enfant en milieu d'année 2013, qu'il ne savait pas où j'habitais, et que je refusais de lui montrer l'enfant alors que j'ai des vidéos de lui chez moi avec notre enfant. C'aurait dû me mettre la puce à l'oreille, parce que lorsque je l'avais filmé en août 2013 avec notre fils posé sur son ventre, il m'avait demandé de ne pas être visible sur la vidéo, depuis j'comprends mieux...

De plus, il n'a jamais participé, de quelle que manière que ce soit, au quotidien de notre enfant jusqu'à son 15eme mois, date du rendu du jugement provisoire, même s'il a affirmé au JAF avoir tjs subvenu à ses besoins sans pouvoir fournir aucune peuve.

Durant ses qqles visites aléatoires les we à mon domicile, il ne s'est jamais occupé de notre fils car incapable de le faire. Il a donc attendu qu'il devienne autonome pour en demander la garde, dans un premier temps il la voulait totale comme stipulé sur le rendu de jugement provisoire et après m'avoir envoyé l'enquêtrice sociale ordonnée lors de la précédente audience à sa dde, il a contredit ses propos en affirmant qu'il n'avait jamais demander la garde totale car trop pris par ses chantiers.

Ceux sont donc sa fille, sa mère âgée de 86 ans et sa nouvelle compagne qui gardent à tour de rôle notre enfant (sa mère tjrs en forme pour semer des discordes récurrantes avec ttes celles qui ont approché son fils !!). Lui pour s'en occuper, lui fait faire des tours de pâté de maisons au guidon d'un scooter ou d'une moto et s'amuse à le faire conduire sa voiture en le mettant sur ses genoux. Inquiétant ?!! Il dit que c'est le rôle d'un père de lui montrer ces choses là, sauf que pour rappel, notre enfant à moins de 2 ans. Comme jouet, il lui donne un hochet ???? No comment !! Il ne souhaite pas non plus l'amener ds des parcs, lui faire des activités, rencontrer d'autres enfants, parce qu'il dit qu'il est préférable qu'il voit son père plutôt que des étrangers...C'est une famille où l'alcool coule à profusion. Tous les prétextes sont bons pour s'enivrer. Ils sont chasseurs. Lors d'une soirée, le fils très alcoolisé a tiré sur un lampadaire. A chacun de ses retours, mon enfant est fatigué, affamé, déshydraté... Les scratchs de ses couches sont supperposées pdt toute la durée du trajet soit environ 2heures de route...


En juillet dernier, il m'a fait croire que le jugement prévoyait aussi un droit de vacances partagées. Je l'ai donc cru malheureusement sur parole et ai accepté sa dde à partir de fin juillet, pas avant, car il m'a dit qu'il devait terminer ses chantiers (Tous ses chantiers sont en france. Il a même fait croire au JAF de Nice, qu'il ne travaillait qu'occasionnellement en tant que maçon pour une sté domiciliée à l'étranger, or il s'avère qu'il est en le patron). Donc, plus tôt que de prendre notre enfant tout le mois d'août, comme il le souhaitait parce que ça l'arrange, je lui ai proposé un hébergement à intervalle d'1 semaine sur 2 pour que notre fils ne subisse pas un changement d'environnement trop radical et perturbant pour un si petit.

C'est au moment de faire un point avec mon avocate, lorsqu'elle m'a demandé où était mon fils, qu'elle m'a expliqué la signification exacte du droit d'hébergement du père indiqué sur le jugement. Je suis tombée de haut encore une fois...

Le jugement rendu en avril 2014 prévoit un droit de visite et d'hébergement les 1er, 3e et 5e we y compris pdt les vacances scolaires. Aucune autre disposition n'est prévue ds celui-ci. Encore une nouvelle fourberie de sa part et j'suis à nouveau tombée ds le panneau !

Nous en sommes à ce jour à plus de 26 jrs coupés d'une semaine chez son père. Par ailleurs, il souhaitait l'amener à l'étranger avec ou sans mon autorisation comme il me l'avait clairement dit. Il a qqles jours, juste après qu'il ait récupéré notre enfant pour sa prétendue période de vacances ce samedi 23, il m'envoie un mail me disant que je l'avais insulté (faux, il ne s'est rien passé) et donc que je n'avais pas intérêt à le contacter par téléphone, il y indique encore une fois un mensonge ds le seul but de me mettre une énième fois en difficulté, comme il l'a fait depuis le début de la procédure. L'envoie de ce mail incohérent lui a permis stratégiquement d'amener notre fils à l'étranger (où est domiciliée sa sté) afin d'éviter la géolocalisation si le contact ne se fait que par internet.

Mon bébé rentre demain et j'ai vraiment hâte de le revoir pour le serrer dans mes bras.

Si vous voulez m'écrire et/ou réagir, n'hésitez pas !!

Merci