Reconversion professionnelle

elleadore78 - 1 août 2010 à 14:48
 ceciail - 18 févr. 2011 à 00:01
Bonjour,
Je suis actuellement responsable marketing et souhaiterai me reconvertir dans l'immobilier (notamment monter une agence). Avant de me lancer, j'aimerais faire une formation FNAIM ou ESSEC.
J'ai commencé à regarder les possibilités de financement, notamment le FONGECIF, mais, comme les formations que j'ai vues sont en alternance j'ai 2 problèmes :
> 1/ pour avoir le fongecif, il faut que je reste dans ma boite, or, cela n'a aucun lien avec l'immobilier
> 2/ je n'en peux plus de mon boulot et, comme la formation débuterait en septembre 2011, cela m'obligerait à rester au moins 1 an encore (plus le temps de la formation là bas)

J'ai donc pensé à un licenciement amiable mais dans ce cas, je perdrais la possibilité d'avoir le fongecif.

Avez-vous d'autres idées qui me permettraient de financer ma formation + avoir un salaire au moins égal à ce que je toucherais au chômage ?

Merci d'avance !!!

Frédérique

1 réponse

salut Frédérique,
désolée, je n'ai pas de réponse mais ton message m'a interpellé car je suis comme toi, je pense tres sérieusement à me reconvertir.
Pour ma part, je suis dans les achats(j'ai fait une ecole de commerce) et je voudrai devenir assistante sociale, dc rien à voir... et un de mes problemes est le meme que toi: comment justifier une formation qui n'a rien à voir avec mon métier de base à mon employeur...? si jamais ça ne marche pas; c'est une mise au placard assurée ...!! je pense poser la question au FONGECIF ils doivent avoir l'habitude!
et sinon, je suis aussi short niveau timing car les délais sont assez longs pr avoir les differentes autorisations et j'ai super peur de rater la prochaine rentrée et dc, de devoir repousser mon projet à dans un an...bref, ça demande de l'énergie de se reconvertir!! mais je pense que ça vaut le coup!!
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Bonjour Mag,

Réfléchit bien à ta reconversion d'assistante sociale...
Moi même je suis assistante sociale depuis 7 ans, je travaile au sein d'un conseil général. Le social est soumis à des contraintes budgétaires qui se traduisent sur le terrain par des suppressions de postes, un contrôle accru du travail effectué ne permettant plus aucune créativité ni autonomie, un accompagnement auprès des usagers de plus en plus superficiel, une pression sur des objectifs à réaliser qui sont en inéquation avec le public accueilli
J'ai l'impression de plus en plus de perdre le coeur du métier qui est l'accompagnement des publics et l'analyse des situations pour faire un travail administratif....
A ce jour, je me pose beaucoup de question et pense de plus en plus à une réorientation professionnelle permettant de retrouver une autonomie et une possibilité de réflexion...
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