Bonjour,
Nous ne sommes pas mariés ni pacsés (mon ex-concubine m'avait refusé l'un comme l'autre)
J'avais vendu mon appartement pour la rejoindre dans son 3 pièces locatif le temps de trouver une petite maison que j'ai faite agrandir afin que sa fille (16 ans à l'époque) y trouve sa place. En co-indivision, elle détient 21% de cette maison qu'elle a désertée 1 an après notre emménagement et alors que j'étais en deuil de mon père depuis exactement 2 semaines lors de cet abandon de domicile. Cette femme dont le téléphone recevait sms sur sms pendant nos diners et que j'ai surprise avec différents "amis", s'est immédiatement inscrite dans une procédure contencieuse en liquidation de communauté, avec constitution d'avocat (la meilleure défense étant l'attaque).
Le plus insupportable est qu'elle fait état, par écrit dans des lettres recommendées/AR, de "fuite prise devant des violences subies".
Ces accusations mensongères, calomnieuses et diffamatoires sont insupportables. Je voudrais donc savoir comment me défendre face à tant de perversité. J'entends ne pas rester inactif car la violence au sein d'un couple est un acte grave, réprimé à juste titre par la loi.
Merci d'avance pour votre aide éclairée.
Elle n'a évidemment AUCUNE preuve puisque cette accusation est MENSONGERE. Ni traces de coups, ni témoin, ni constat médical et encore moins d'ITT puisque je n'ai jamais levé la main sur elle.
Néanmoins elle a réussi à recueillir un (faux) témoignage auprès de la mère d'une amie de sa fille qui affirme par écrit qu'elle a subit mes violences alors que je ne connais pas cette femme, je ne l'ai jamais vue, jamais parlé. Rien. Elles sont de connivence.
Si certes la preuve lui incombe, la police, le procureur n'en ont cure. Ils mettent quand même en garde à vue sans preuve et traînent au possible quand ils soupçonnent que la femme ment.
Une femme qui accuse est d'emblée considérée comme une victime, comme disant l'absolue vérité.
Il faut donc déposé une plainte pour dénonciation de crime imaginaire, diffamation, faux et usage de faux témoignage contre le témoin et elle.
Exigez que votre plainte soit prise.
Si elle a déjà déposé une plainte, alors faites un RAR auprès du Doyen des juges d'instruction pour déposer une plainte contre elle en dénonciation de crime imaginaire, etc.
L'avantage, ce sont les cellulaires, ils sont, semble-t-il, tous équipés d'une puce GPS, cela indique la position des personnes, un juge d'instruction devra vérifier à votre demande.
La carte bancaire, la carte de retrait, la carte de fidélité, carte cinéma, les chèques, le pass navigo (transport en commun), carte de parking, carte de péage, etc., tous indiquent les positions des uns et des autres.
Ce qu'il faut, c'est la forcer à donner des dates, pour savoir si vous étiez présent.
Agir sans attendre, car elle sera immédiatement cru.
Merci pour vos conseils. Etes-vous de profession juridique?
Pour les positions GPS, traçage de diverses puces etc... ce n'est pas possible car contraire aux libertés individuelles dans un dossier comme celui-ci, et cela n'apporterait rien d'exploitable et ne démontrerait pas que je n'ai jamais violenté cette perverse.
En revanche, le conseil sur le dépot de plainte, je prends! Il est exact qu'il y a témoignage imaginaire et mensonger de la part du faux témoin et qu'il y a calomnie et diffamation de la part de mon ex.
Ah bon, d'où tenez-vous que c'est contraire, vous ?!
J'ai suffisamment travaillé sur ce type de dossier pour savoir qu'une large partie des femmes en cas de divorces ou de séparation mentent et inventent ce type de violence, une étude au Canada rapporte que
Sur 100% de plainte pour violence conjugale 18% sont des plaintes d'homme et que 60% des plaintes déposées par des femmes sont des fausses.
C'est devenu une stratégie de défense dans les cas de divorce ou séparation partout sur la planète.
De plus, le Juge d'instruction, le procureur peuvent vérifier les cartes, puces GPS, téléphones, etc., mais le Procureur ne le fait jamais en France, il croit dès le départ, comme parole d'évangile, les femmes.
Et bien sûr que si, cela donne des éléments, si son cellulaire se trouvait à Lyon, alors que vous à 20 Km plus loin, cela prouve que vous ne pouviez pas la battre.
Ainsi, si, elle a déjà déposé une plainte, vous pouvez vous constituer en partie civile auprès du doyen des juges d'instruction en demandant qu'un juge soit nommé, car lui instruit à charge et à décharge, donc, il enquête et va chercher les preuves, pas le procureur dans ce type d'affaires.
Il faut qu'elle donne des détes, des lieux, etc.
Le témoin aussi, si le témoin était à 50 Km de là .................
Bonsoir et merci pour vos statistiques qui ne m'étonnent pas... Les femmes ont toujours recours aux mêmes perversités: alcool, déviances, violences.... on connait la musique! Pour ce qui me concerne, rien de tout cela.
Mais je ne peux démontrer que je me trouvais à un autre endroit quand elle m'a accusé de ces violences. Nous étions ensemble et elle est partie à la police raconter son histoire après avoir passé un gros 1/4h au téléphone, pour commencer. Sans doute cet homme qui lui non plus ne m'a jamais vu mais qui y va tout de même de son attestation... Je pourrais peut-être demander son relevé téléphonique pour savoir qui la manipulait?
Par ailleurs son autre témoin ne me connait pas, n'était pas présent lors du départ de mon ex et ne m'a jamais vu. Je pourrais sans doute l'assigner pour faux témoignage, faux en écriture?
Ces accusations sont graves mais elles sont aussi nuisibles aux personnes qui sont, elles, réellement victimes de violences et que l'on finira par ne plus croire...
Ou vous vendez tout ou vous lui rachetez sa part, chez le notaire.
Donc combien et quand on signe ?
Juste une histoire de sous.
Juste cela, si vous voulez vous en débarrasser et être en paix.
Sinon elle fera vendre aux enchères pour récupérer sa part, nul n'est tenu de rester dans l'indivision.
Elle se croit dans un divorce. L'avocat en ajoute, normal il va facturer.
Il n'y a pas d'abandon de domicile conjugal, puisque vous n'êtes pas mari femme.
Il n'y a pas de liquidation de communauté, puisque vous n'êtes pas mari femme.
Elle m'a déjà assigné. Je suis donc contraint de me défendre et j'ai constitué avocat. Bien obligé de me défendre.
Nous habitions sous le même toit en concubinage. Même adresse fiscale, etc... Malgré tout il n'y a pas d'abandon de domicile conjugal?
Il n'y a pas de liquidation de communauté?? C'est pourtant ce qu'elle demande en justice et son dossier a été accepté par le JAF. Alors?
J'ai produit des pièces permettant de valoriser la maison. Il n'y a donc pas de vente aux enchères envisagée. Elle cherche juste à gratter le maximum d'argent à présent.
ça fait froid dans le dos. Mon conseil, dorénavant: ne plus faire confiance aux femmes. Jamais. J'ai un collègue qui a eu le même problème. Comme par hasard.
La législation juridique et financière évolue en permanence...
4 nov. 2015 à 21:21
Néanmoins elle a réussi à recueillir un (faux) témoignage auprès de la mère d'une amie de sa fille qui affirme par écrit qu'elle a subit mes violences alors que je ne connais pas cette femme, je ne l'ai jamais vue, jamais parlé. Rien. Elles sont de connivence.
Modifié par Lucifer archange déchu ou déçu. le 7/11/2015 à 23:46
Si certes la preuve lui incombe, la police, le procureur n'en ont cure. Ils mettent quand même en garde à vue sans preuve et traînent au possible quand ils soupçonnent que la femme ment.
Une femme qui accuse est d'emblée considérée comme une victime, comme disant l'absolue vérité.
Il faut donc déposé une plainte pour dénonciation de crime imaginaire, diffamation, faux et usage de faux témoignage contre le témoin et elle.
Exigez que votre plainte soit prise.
Si elle a déjà déposé une plainte, alors faites un RAR auprès du Doyen des juges d'instruction pour déposer une plainte contre elle en dénonciation de crime imaginaire, etc.
L'avantage, ce sont les cellulaires, ils sont, semble-t-il, tous équipés d'une puce GPS, cela indique la position des personnes, un juge d'instruction devra vérifier à votre demande.
La carte bancaire, la carte de retrait, la carte de fidélité, carte cinéma, les chèques, le pass navigo (transport en commun), carte de parking, carte de péage, etc., tous indiquent les positions des uns et des autres.
Ce qu'il faut, c'est la forcer à donner des dates, pour savoir si vous étiez présent.
Agir sans attendre, car elle sera immédiatement cru.
Cordialement.
8 nov. 2015 à 20:15
Pour les positions GPS, traçage de diverses puces etc... ce n'est pas possible car contraire aux libertés individuelles dans un dossier comme celui-ci, et cela n'apporterait rien d'exploitable et ne démontrerait pas que je n'ai jamais violenté cette perverse.
En revanche, le conseil sur le dépot de plainte, je prends! Il est exact qu'il y a témoignage imaginaire et mensonger de la part du faux témoin et qu'il y a calomnie et diffamation de la part de mon ex.
Un grand MERCI à vous
Cordialement,
Modifié par Lucifer archange déchu ou déçu le 9/11/2015 à 05:10
Ah bon, d'où tenez-vous que c'est contraire, vous ?!
J'ai suffisamment travaillé sur ce type de dossier pour savoir qu'une large partie des femmes en cas de divorces ou de séparation mentent et inventent ce type de violence, une étude au Canada rapporte que
Sur 100% de plainte pour violence conjugale 18% sont des plaintes d'homme et que 60% des plaintes déposées par des femmes sont des fausses.
Entrevue Télé-Québec chaîne publique : http://getwebb.org/v/FIHFQ2hG
C'est devenu une stratégie de défense dans les cas de divorce ou séparation partout sur la planète.
De plus, le Juge d'instruction, le procureur peuvent vérifier les cartes, puces GPS, téléphones, etc., mais le Procureur ne le fait jamais en France, il croit dès le départ, comme parole d'évangile, les femmes.
Et bien sûr que si, cela donne des éléments, si son cellulaire se trouvait à Lyon, alors que vous à 20 Km plus loin, cela prouve que vous ne pouviez pas la battre.
Ainsi, si, elle a déjà déposé une plainte, vous pouvez vous constituer en partie civile auprès du doyen des juges d'instruction en demandant qu'un juge soit nommé, car lui instruit à charge et à décharge, donc, il enquête et va chercher les preuves, pas le procureur dans ce type d'affaires.
Il faut qu'elle donne des détes, des lieux, etc.
Le témoin aussi, si le témoin était à 50 Km de là .................
Cordialement.
9 nov. 2015 à 19:17
Mais je ne peux démontrer que je me trouvais à un autre endroit quand elle m'a accusé de ces violences. Nous étions ensemble et elle est partie à la police raconter son histoire après avoir passé un gros 1/4h au téléphone, pour commencer. Sans doute cet homme qui lui non plus ne m'a jamais vu mais qui y va tout de même de son attestation... Je pourrais peut-être demander son relevé téléphonique pour savoir qui la manipulait?
Par ailleurs son autre témoin ne me connait pas, n'était pas présent lors du départ de mon ex et ne m'a jamais vu. Je pourrais sans doute l'assigner pour faux témoignage, faux en écriture?
Ces accusations sont graves mais elles sont aussi nuisibles aux personnes qui sont, elles, réellement victimes de violences et que l'on finira par ne plus croire...
Cordialement,